Il était une fois, Dabakh, Mame Abdoul Aziz Sy. Il est parti un 14 septembre 1997, laissant derrière lui, un Sénégal orphelin d’un enseignant, d’un homme de valeurs… Ce 14 septembre marquant tous les esprits, meme le ciel avait porté le deuil. Un épais brouillard avait enveloppé le Sénégal. 40 ans, six mois, 15 jours, Dabakh a porté la tarikha tidjane au Sénégal et a conduit le pays dans le bon chemin, à chaque fois que la pirogue tanguait.
22 ans après sa disparition, Mame Abdou Aziz Sy est toujours plus présent. Ses causeries et enseignements sont toujours d’actualité.
Malgré sa disparition, les médias repassent en boucle ses messages à chaque fois que le pays doit affronter une épreuve, qui nous rapprocherait du pire. Mais, il s’en sort toujours grâce à ses prières d’Outre-tombe.
Comme le 21 juin 2011 quand Dakar s’est embrasée à cause de la réforme constitutionnelle proposée par Me Abdoulaye instaurant le ticket Président-Vice-présent. Et la suppression du quart-bloquant. Que dire ? Le Sénégal a perdu un homme, qu’il ne pourra jamais remplacer.
