Le Qatar a entamé mi-avril une mission de bons offices auprès du gouvernement sénégalais afin d’obtenir la libération anticipée de Karim Wade ». Une requete acceptée par les autorités étatiques mais elles ont posé des conditions qui n’est autre que l’éxil forcé .Autrement dit ,l’ancien ministre d’Etat doit se faire oublier en se retirant au Qatar ou dans un autre Etat de son choix.Mai apparement Karim Wade serait opposait à toute idée d’exil, même momentané ».
Toutefois, son refus de s’exiler au bénéfice d’une libération « ne l’a pas empêché de dépêcher deux de ses avocats, Madické Niang et Mohamed Seydou Diagne, à Doha au cours de la seconde quinzaine d’avril afin de recueillir plus de précisions sur les contours de cette médiation ».
