De nombreuses filles céderont si l’on n’y prend garde: JAMRA dénonce le retour du lesbianisme dans les lycées !

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Lorsque nous avons, comme tout le monde, «trébuché» sur cette scandaleuse vidéo, qui fait présentement le «buzz» dans les réseaux sociaux, mettant en scène deux jeunes lycéennes, apprenties-lesbiennes, s’embrassant goulument devant leurs camarades de classe ébahies, JAMRA s’est fatalement retrouvée devant ce dilemme cornélien : crier au scandale, au risque de s’entendre apostropher (actualité oblige) : «revoilà les moralisateurs»! Ou faire profil-bas, et laisser le champ libre aux partisans de la critique-facile, qui fustigeront alors allégrement «le silence incompréhensible de JAMRA» ; et dénonçant même une certaine «hypocrisie» ; ou nous reprochant tout bonnement de faire de «l’indignation sélective». Alors que faire, se taire comme tout le monde et laisser les pervers détruire nos enfants !? 

Pas plus tard qu’en mai 2012, une affaire similaire avait défrayé la chronique, impliquant toujours des jeunes filles, à Grand-Yoff, confondues d’actes de lesbianisme par la Brigade des Mœurs. Le Rubicon avait été franchi lorsque les enquêteurs découvrirent que certaines séquences de leurs frasques, gravées sur Cd, se vendaient sous le manteau comme des petits pains, et que des enfants mineurs se les échangeaient gaiement via leurs téléphones portables. Cette maudite vidéo des lesbiennes de Grand-Yoff aura malheureusement eu le temps de faire des ravages inattendus : dans le même quartier, un gamin de 13ans, élève en Classe de 6e, et une fillette de 7 ans ont été violés en l’espace de vingt-quatre heures, précisément les 24 et 25 mai 2012 ! (les plaintes déposées par les parents des victimes à la Police en attestent largement). 

Six mois plus tard, en novembre 2012, le quartier voisin des Hlm Grand-Yoff se retrouvait sous les feux des projecteurs, au grand dam de ses braves riverains : une scandaleuse affaire de lesbiennes y avait pour cadre un bar devenu tristement célèbre, «Le Piano-Piano». Sous prétexte de célébration d’un anniversaire, des «femmes-hommes» n’avaient trouvé mieux que d’impliquer dans leurs randonnée perverse une fillette âgée d’à peine 16 ans, et dont les aveux sidérants, consignés dans les procès-verbaux de police, avaient ému de larges franges de l’opinion. 

D’autant que les cinq femmes arrêtées au bar «Piano-Piano», pour actes contre nature, étaient des membres actives de «Sourire de femme», la très «discrète» association de défense de la cause des lesbiennes. L’une des mises en cause, N.S.D., en était la directrice adjointe. Mais, quelques heures à peine après l’arrestation de ces cinq lesbiennes, c’est la directrice générale de «Sourire de femme» elle-même, N.K. qui, «Wow bët» (téméraire) comme pas possible, était montée au créneau en entreprenant d’internationaliser cette triste affaire de mœurs, en alertant plusieurs sites-web de soutien aux lesbiennes, à travers le monde. Elle y vilipendait énergiquement l’Etat sénégalais, lui reprochant refuser d’abroger l’article 319 du Code pénal, qui condamne les unions contre-nature. Connue des services de police, la patronne de «Sourire de femme» N.K. avait déjà eu maille à partir avec la justice, pour avoir été arrêtée par la police et détenue en Casamance, en février 2013, pour des faits similaires. 

Le plus désopilant, chez ces jeunes adeptes des unions contre-nature, c’est qu’ils(elles) ne se limitent plus à présent à défier la société en foulant ouvertement aux pieds ses bonnes mœurs, par des actes publics d’outrage à la pudeur, mais entreprennent à présent de dérouler un prosélytisme malsain, ciblant surtout des enfants mineur(e)s. Ces dernier(e)s, influençables par définition, sont détourné(e)s sans vergogne par des fréquentations assidues et corruptrices, qui finissent souvent par avoir raison de leurs frêles esprits, naturellement perméables aux influences de ceux (ou celles) qui sont sensé(e)s disposer sur eux(elles) d’un «droit d’aînesse», qui ne dit pas son nom. 

Détournant des mineures de la ligne éducationnelle que s’efforce de leur forger la cellule familiale, «Sourires des Femmes», pour toute aide morale qu’elle prétend leur apporter, attend toujours que leurs frasques fassent scandales dans l’opinion, pour s’ériger en avocat du diable. Confirmant un vieil adage bien de chez nous qui dit que «Ku wax fééñ» (l’aveu, est la reine des preuves), l’une de leurs responsables s’était récemment fendue d’une «contribution» publique, soi-disant pour «plaider le droit à la différence». Dans une plaidoirie nettement pro-homo’, enrobée d’une saillante malhonnêteté intellectuelle, cette responsable de «Sourire des Femmes» passait allégrement sous silence les mille et une provocations, à l’actif de celles qu’elle qualifie complaisamment de «minorité persécutée». Se livrant à un désopilant amalgame, elle a cloué au pilori quasiment toute la société sénégamaise: «l’Homme ne se considère et n’est considéré comme normal que s’il est en mesure de se démarquer de ceux qu’il considère comme étant différents de lui et ne voyant en leur différence que le mal juré à détruire. Ces derniers étant, pour la plupart, constitués de minorités telles que : les albinos, les personnes ayant une orientation sexuelle et une identité du genre différentes de celles de la plupart des gens, des athées, les personnes vivant avec le Vih Sida, les personnes victimes de viols, etc. N’est-ce pas absurde d’indexer l’autre parce qu’il est différent de nous ?». 

Quel caricatural et ridicule faux-fuyant ! On se croirait dans un autre Sénégal. Tout le monde sait que depuis des siècles les homosexuels ont toujours été «tolérés», sous nos cieux. Mais que depuis quelques années, piqués par on ne sait quel virus, ils(elles) semblent se communautariser avec ostentation, et agressent chaque jour que Dieu fait l’écrasante majorité des 95% de croyants, dans leur foi, par des esclandres publics, sans cesse recommencées. Comme en atteste les 11 mariages homosexuelles scellés sur la terre où repose Cheikhal Khalifa Baye Ibahima Niasse, au lycée Ibrahima Diouf de Kaolack, un jour aussi doublement symbolique que le 25 décembre 2015, où les «hasards» des calendriers grégorien et hégirien avaient voulu qu’on y célébrât la même nuit les naissances de Seydina Insa (Jésus) et du Prophète Mouhamed (psl). 

Si le rejet des actes contre-nature par l’écrasante majorité de notre société – se fondant sur nos références socioreligieuses – ne souffre d’aucune ambiguïté, c’est parce que l’homosexualité est fermement condamnée, dans pas moins dix-huit «fatwa» dans le Saint-Coran. Et à chaque fois étayées par un rappel de la malédiction qui s’était abattue sur peuple pervers du prophète Loth, neveu d’Abraham : «Et Loth ! Nous lui avons apporté la capacité de juger et le savoir, et Nous l’avons sauvé de la cité où se commettaient les vices; ces gens étaient vraiment des gens du mal, des pervers». (S21, les Prophètes, V74). Les Textes Bibliques ne sont pas en reste, en bannissant aussi fermement les déviances sexuelles: «Tu ne coucheras point avec un homme comme on couche avec une femme. C’est une abomination» (Lévitique 18, 22). 

Il est périlleux de laisser la latitude aux seul(e)s adolescent(e)s de se choisir leur «éducateur». Si nos enfants perdent leurs repères, suite à la démission de l’autorité parentale, dans une société de plus en plus marquée par une profonde crise des valeurs, ils(elles) n’auront alors d’autres issues que de se laisser éduquer par la rue ! 

L’ONG islamique JAMRA et l’Observatoire de veille et de défense des valeurs culturelles et religieuses, MBAÑ GACCE, exhortent les Autorités à tirer cette affligeante affaire de collégiennes lesbiennes au clair. Ne fût-ce que pour sauvegarder moralement d’autres jeunes filles, réduisant ainsi pour elles le risque, toujours réel, de se laisser fasciner sur ces pentes glissantes de la débauche, si rien n’est fait ! 

Dakar, 15 avril 2019 
Les Bureaux exécutifs de 
JAMRA et MBAÑ GACCE 
ongjamra@hotmail.com 

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