Le feu couve à l’APR de Côte d’Ivoire : Le Consul et son adjoint dans l’œil du cyclone

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Former Senegalese Prime Minster Macky Sall (C) gestures during his speech in Dakar on December 1, 2008 during the uncovering of his new political party, Alliance for the Yakkar Republic (APR). The Former national assembly leader created the political party three weeks after his unseating in parliament. AFP PHOTO/SEYLLOU (Photo credit should read SEYLLOU/AFP/Getty Images)

L’Alliance pour la république de Côte d’Ivoire est sur des braises ardentes. La cause est à chercher selon Makhtar Diallo, Coordinateur la section A
d’Adjamé, du côté des « inactifs et profiteurs soit disant responsables qui ne mobilisent pas pour le parti ».

La mouvance présidentielle qui y a subi une contre- performance lors des élections législatives de 2017 avec sur 19 399 inscrits, seulement 2500 personnes qui ont voté, file vers « la catastrophe avec la présidentielle qui se profile en 2019 » a poursuivi notre interlocuteur

Les causes de ce désintéressement sont multiples; entre autres, nous dit il, le choix du député, le manque d’engagement et de sincérité du Consul Abdou Karim Basse et son complice Négri, ex-membre de la Génération du concret.

« Ces deux hommes ont empêché le déroulement normal du programme de massification de l’Apr.  Sans oublier les lobbies à partir de Dakar, qui ne sont animés que par leurs propres intérêts avec leur agenda catastrophique pour Abidjan » accuse-t-il.

Face à cette situation, Dakar doit agir et le plutôt sera le mieux. « Notre rêve de bien gagner la Côte d’Ivoire risque d’être hypothétique; il faudra inverser cette tendance pleine de risques pour nous tous.  L’heure a sonné pour la structuration du parti. Ce qui est important pour nous c’est d’avoir un bon leader capable de transcender les querelles internes » a-t-il conclu.

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