REVUE ANNUELLE CONJOINTE 2017 : “ notre Economie s’installe, progressivement, sur une trajectoire de croissance forte de 6,8% ”

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«Le Gouvernement a l’ambition de renforcer la compétitivité de nos entreprises, avec notamment la volonté marquée de réformer, significativement, l’environnement des affaires et d’améliorer l’accès aux infrastructures», a, d’emblée, précisé le Secrétaire Général du Ministre de l’Economie, des Finances et du Plan, Cheikh Tidiane Diop.

Lors de l’Atelier de validation technique du Rapport de la Revue annuelle conjointe (Rac 2017) de la politique économique et sociale. M Diop, représentant son ministre, s’est réjoui du partenariat constructif réussi, avec l’ensemble des différents acteurs. A noter que cette activité permet de présenter et de valider les résultats de la politique économique et sociale du Sénégal en 2016.

Pour ces réalisations de l’année 2016, un processus participatif a été mis en place, sous la supervision du Secrétariat technique du Cadre harmonisé de suivi-évaluation des politiques publiques (Case). Ainsi, le partage s’est appesanti sur l’état d’avancement de la mise en œuvre des politiques publiques.

Dans ses propos, le Secrétaire général du Ministre de l’Economie et des Finances a mis en exergue, de façon globale, l’économie sénégalaise. Pour lui, elle «s’installe progressivement sur une trajectoire de croissance forte de 6, 8%, qui constitue, en elle-même, un atout indispensable pour l’atteinte des objectifs du Plan Sénégal émergeant (PSE).

De facto, le cadre macroéconomique se consolide, d’année en année». Et la qualité de son évolution est reconnue par les investisseurs et entrepreneurs, comme un gage crédible d’attractivité croissant, croit-il, fermement.

Néanmoins, le Ministère de l’Economie reste prudent sur la question de transformation de la structure de l’économie du pays. Selon Cheikh Tidiane Diop, «de nombreux progrès restent à faire pour qu’elle se classe parmi les économies les plus compétitives».

A cette Revue annuelle conjointe, les partenaires techniques et financiers, comme la Banque africaine de développement (Bad) ou encore l’Unicef, les représentants de la Société civile, du Secteur privé et des élus locaux étaient également présents à la réunion.

Les recommandations qui vont être tirées de cet Atelier devraient d’après le Secrétaire Général, aller dans le sens de lever les contraintes identifiées dans la mise en œuvre des politiques publiques.

TAPHA SOW/FKG

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