Face à la recrudescence de la violence au Sénégal, certains quartiers ont commencé à former des comités de vigilance pour veiller à la sécurité des riverains. Selon le directeur exécutif d’Amnesty international au Sénégal, Seydi Gassama, l’Etat ne doit ni tolérer ni encourager leur formation.
“Des “comités de vigilance” existent dans beaucoup de quartiers et localités du pays et ils sont souvent mis en cause dans des actes de violence ayant entraîné la mort de présumés malfaiteurs. L’Etat ne doit ni les tolérer ni encourager leur formation”, a-t-il tweeté.