Le Café de Rome est depuis 2016 secoué par une affaire de détournement d’une vingtaine de millions, qui vaut à 13 de ses employés d’être traînés devant la justice par leur directeur général, que les syndicalistes de leur boîte accusent de « pratiques ségrégationnistes ». Pour sûr un scandale sexuel y avait été étouffé : une des belles employés, N. F, s’est retrouvée grosse des œuvres d’un des responsables, avec lequel elle prenait du « café » en cachette. Alors pour ne pas rajouter au climat tendu le patron réussira à faire avorter sa copine enceinte dans une clinique de la place. Ils croyaient ainsi l’affaire bien enterrée. Mais dernièrement la Direction de la clinique et le turbulent patron ont reçu un courrier qui leur a fait comprendre que ses auteurs sont au courant de l’avortement illégal, puisque fait après plus de 3 mois ; le patron ayant d’abord refusé la paternité. Alors pour que ça ne suinte et ne se retrouve pas sur la toile, la clinique et l’auteur de la grossesse ont casqué 750 000 et restent devoir aux maîtres-chanteurs 250 000 francs. Parmi eux, un employé de la clinique et un autre du café identifiés par leurs directions respectives qui ne peuvent hélas les renvoyer … pour ne pas s’exposer davantage. Affaire à suivre, surtout que le troisième larron tient à leur reliquat.
