Journée Qacida, Serigne Mountkha enfile sa blouse blanche et donne la thérapie à tous les maux

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Journée Qacida, Serigne Mountkha enfile sa blouse blanche et donne la thérapie à tous les maux

Pour affronter un ennemi redoutable, il faudra un brave capitaine à la tête d’une courageuse armée. C’est cette posture que semble adopter Serigne Mountkha Mbacké face aux ravages, à la terreur du Coronavirus et de la dégringolade des bonnes valeurs.

Au moment où médecins et experts sanitaires se donnent à bout de souffle pour vaincre ce terrible virus qui enterre et terrasse des milliers de personnes partout dans le monde, au moment où les virus de la haine, de la médisance et de la calomnie, de la méchanceté et de l’effritement des valeurs morales et religieuses s’emparent des âmes, Serigne Mountakha prescrit la dose des khassida, dose thérapeutique des pathologies du corps et des âmes. Comme pour dire au monde effrayé et terrifié par ces redoutables virus, que seule la prière est la meilleure ordonnance. La journée du Qacida vient rallumer la flamme de l’espoir de tous ceux qui croyaient à l’invincibilité du virus cora et de ses pairs qui occupent les âmes. Au moment où le virus nous impose des barrières entre nous-mêmes, nous déconnecte, nous interdit les déplacements et rassemblements, nous réapprend les valeurs élémentaires de l’hygiène, Serigne Mountkha appelle à une véritable connexion avec Dieu, l’Unique Médecin qui pourrait guérir tous les maux et ainsi sauver l’humanité. Un acte de courage et de bravoure qui rappelle la courageuse prière des 2 rakkas de khadim Rassoul dans le bureau de ndar face au terrible gouverneur. Ainsi, peut-on apprendre que notre foi en Dieu ne devrait en aucun cas être perturbée par qui ou quoi que ce soit. Le récital de Qacida qui constitue un retour vers Dieu pour implorer auprès de Lui paix et santé, seules gages d’une vie stable, pourrait être la bonne dose qui va tuer à jamais les terribles virus du Corona et de la crise des valeurs.

Qu’allah agrée toutes les prières et sauve toute l’humanité de ce fléau qui la consume quotidiennement.

Modou Aissa Seye, Professeur d’anglais

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