Découvrez cette nouvelle pratique à laquelle les femmes africaines s’adonnent pour subvenir à leurs besoins !

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Récemment, une enquête menée par Week End Today nous révèle que les femmes ghanéennes ont désormais de plus en plus tendance à s’adonner aux jeux de hasard.

 En effet, ce phénomène prend de l’ampleur au niveau des bidonvilles et dans les banlieues d’Accra.  
Il se trouve que les machines à sous et autres jeux de hasard envoyés dans ce pays par des Chinois contribuent à réduire le taux de fréquentation au niveau des écoles.  Les jeunes adolescentes auraient elles aussi développé un sérieux penchant pour les jeux de hasard et rivalisent avec les hommes «J’ai cultivé une forte habitude de fréquenter tous les jours cet endroit après la journée pour jouer avec l’espoir que je rentre avec un gros pactole » déclare une vendeuse de plantain.  
Il se trouve que les machines à sous et autres jeux de hasard envoyés dans ce pays par des Chinois contribuent à réduire le taux de fréquentation au niveau des écoles.

 Et selon elle, malgré le fait qu’il y’ait plus de victoires que de pertes elle continuera à joueur jusqu’à ce qu’elle décroche le jackpot.  
Quant à Aisha Fuseini, âgée de 17 ans, elle a abandonné l’école et se consacre aujourd’hui à ce jeu : « Et depuis, je joue sans que mes parents, ne le sachent », nous confie-t-elle.  Pour la jeune femme, si ses parents apprennent qu’elle s’adonne à cette activité, elle risque gros.  « Mais je suis devenue accro à cela.

 C’est ma prière que je m’arrête un jour », a-t-elle martelé. 
« Un de mes amis m’a parlé du jeu et je l’ai accompagné, et j’ai été séduit.  J’ai donc commencé, et depuis, j’ai joué.  Je pense que c’est intéressant… J’adore », déclare une autre victime des jeux de hasard.

 Et selon cette jeune femme, avec quelques pièces de monnaie, elle peut remporter un vrai pactole.  « Je fais cela dans le but d’acquérir une des machines.  Je veux utiliser ma propre machine.  En fait, l’affaire est bonne, surtout lorsque vous la jouez tard dans la soirée » nous dit-elle.

 
Dans la banlieue de Nima, une zone très peuplée, la situation est désastreuse, et ce phénomène prend de plus en plus d’ampleur.  

Source : afrikmag

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